Copé a déjà tourné la page du sarkozysme

Jouant Sarkozy battu demain, Copé, connaissant son petit Sarko par coeur dans le texte, ne croit pas un mot des sa promesse de quitter la vie politique s'il n'est pas réélu. Après tout, le même n'avait-il pas juré ses grands dieux à Atomic Anne (Lauvergeon) qu'il ne ferait qu'un mandat, et qu'après il partirait chez Bouygues "faire de l'argent" (sic).
Copé craint donc que Sarko fasse de la résistance. En se drapant, par exemple, dans "sa légitimité" d'ex-président  pour se représenter, la bouche en coeur, en 2017. Voilà pourquoi, Copé n'a pas attendu le deuxième tour pour annoncer qu'il se ralliait à l'idée de primaires à droite. Après, pourtant, n'avoir pas ménagé ses critiques à l'encontre de celles du PS. En politique, tout est affaire de circonstances bien plus que de conviction. 

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